Il y a pas mal de jeunes qui sont aux USA sous des visas B2, ou J mais une fois qu’ils veulent rester pour démarrer leur vie laboral et y vivre, cela ne va plus. Ils trouvent des sociétés qui seraient prêtes à les embaucher mais elles ne demanderont pas le visa de travail pour eux, sauf s’ils sont vraiment indispensables à leur entreprise et si elles ne peuvent pas trouver un américain pouvant occuper l’emploi.
Donc c’est à la personne qui veut venir travailler et vivre aux USA qui doit se prendre en main pour demander un visa. Mais lequel ? Et comment ?
Si vous ne pensez pas investir et employer du personnel américain vous ne pouvez pas demander un visa investisseur qu’il soit E-1, E2 ou EB5.
Si vous voulez être rattaché à un investisseur bénéficiant du type de visa cité précédemment, alors il faut que vous soyez employé par celui-ci ou que vous soyez son enfant.
Le visa O1 est pour les personnes ayant des capacités extraordinaires et pouvant le prouver par la réputation qui l’entoure déjà dans son domaine c’est-à-dire être reconnu par ses pairs et par le public. Vous dites juste son nom et clic tout le monde sait qui c’est.
Pour le visa H-1B il faut que vous ayez un employeur américain. Afin de pouvoir bénéficier des 20 000 autres visas accordés au-delà du quota annuel de 65.000, il faudrait que vous soyez diplômé de 3ème cycle aux Etats-Unis. Mais les demandes de visas H-1B sont exemptes du contingent annuel si l’employeur américain est un collège ou une université d’état ou privée, à but non lucratif, un organisme affilié de recherche à but non lucratif, ou encore une organisation de recherche gouvernementale.
Autre possibilité : vous travaillez en France pendant un an dans une société ayant déjà une succursale aux USA. Il faut qu’elle soit désireuse de vous transférer en tant qu’employé cadre dirigeant aux Etats-Unis (ou avoir un savoir-faire unique que vous pourrez transmettre aux employés de la filiale). Elle doit être la maison mère de l’entreprise filiale. La maison mère doit posséder la majorité des parts dans la filiale, ou bien le même dirigeant détient conjointement une participation majoritaire dans les deux entreprises -ce qui signifie que le dirigeant détient déjà le visa investisseur cité plus haut-. Ce qui revient à dire, pour ce cas précis, n’allez pas travailler dans une société américaine en France.
Si vous avez déjà déterminé quel visa peut vous être accordé, contactez-nous nous vous aiderons à faire votre demande avec plus de sécurité de l’obtenir.